Que les hommes politiques me ne vont pas faire un cas. Que les gens vont continuer de voter les mêmes. Que la Constitution se ne peut pas changer. Mais cela n'implique pas qu'il arrête d'apporter des solutions. Ou est-ce qu'il est mieux de se taire ?
Il ne s'agit pas de planifier. Une chose est un tableau macroéconomique où l'unique qu'aperecen sont projections de PIB, d'arrêt et de déficit et l'autre décide ce qui va se produire. Qu'il reste clair qu'un tableau macroéconomique est seulement une estimation. L'estimation peut être faite en utilisant complejísimos des systèmes econométricos avec multitude de variables ou en utilisant certaines variables et avec un système absolument primaire. Comme, à l'heure de deviner juste, aucun modèle ne te garantit d'exactitude j'opte pour le plus simple.
Et c'est que quand on a vu tellement de fois échouer aux modèles sophistiqués statistiques de Banques centrales, d'Universités, les Organismes Internationaux et les économistes de prestige il faut adopter une posture modeste et ne pas chercher à jouer à être Dios avec les modèles sophistiqués.
Pour qu'un tableau macroéconomique puisse avoir les possibilités de deviner juste il a à être un réaliste. Qu'est-ce que je comprends par réaliste ? Eh bien, par exemple il était absolument irréel de prétendre à ce qu'en Espagne 700.000 logements fussent construits toutes les années ou à ce que toutes les années rentrassent 100.000 M€ de l'extérieur pour financer notre endettement galopant. Il ne serait pas non plus réaliste de penser que nous pourrons indéfiniment maintenir un endettement de la part de l'État de 115.000 M€ par an. En revanche oui il est réaliste de réduire le déficit à 5 % l'année suivante. Il y a, celui qui dit qu'une coupe dans les salaires et les pensions diminuera la consommation et ruinera tout espoir de récupération. Cependant la consommation ne diminuera pas.
L'épargne des Espagnols est absolument insuffisante pour maintenir le déficit public et en même temps pour satisfaire les nécessités d'entreprises et de particuliers. Le soi-disant effet expulsion se produit alors : la demande de financement de l'État expulse du marché les particuliers et les entreprises des demandeurs de crédit. La plus grande liquidité qui apporterait au système un déficit plus petit public permettrait une augmentation de l'inversion privée et créerait les postes de travail qui maintiendraient le niveau de consommation. La solution de descendre des salaires, pas seulement dans le terrain public si pas aussi dans le privé, ce n'est pas une solution élégante ni populaire mais à court terme c'est la possible unique. De plus une chose est de descendre des salaires et l'autre coud la capacité d'achat. La descente de salaires, et la diminution de prix pour les entreprises qu'il a apprêtées, ils supposeraient une descente de prix.
En revanche tous les produits importés maintiendraient ses prix. Une “déflation sélective” se produirait, celui qu'il toucherait ces produits avec une plus grande valeur ajoutée créée en Espagne. La “déflation sélective” limiterait la perte de capacité d'achat gráce à la baisse de salaires et participerait à l'augmentation ou une maintenance de l'emploi des entreprises résidées en Espagne c'est-à-dire augmenterait la consommation totale.
J'insiste, concourir en descendant des salaires n'est pas désirable et soutenable à moyen terme mais à court terme c'est la solution unique pour sortir du pas. Est bien meilleure une baisse de salaires qu'une montée d'impôts. La baisse de salaires nous rend plus compétitifs et diminue les frais de l'État. La montée d'impôts n'accomplit pas le premier et difficilement le deuxième. Monter la TVA est à cette date une erreur terrible.
Une baisse de 10 % dans les salaires supposerait une perte de capacité d'achat de 4 %, tandis que seulement la montée de la TVA va supposer une perte de 1,5 %. et voilà qu'il ne va servir à rien, pis encore : l'arrêt augmentera. Quelqu'un dira que la jolie manière d'augmenter la productivité et les salaires … : En les diminuant!!
Mais il faut être conscient de que nous vivons au-dessus de nos posiblilidades et qu'ajourner l'ajustage sera beaucoup pire. Si l'arrêt ne commence pas à baisser bientôt plusieurs des crédits douteux peuvent devenir des traites échues et finalement dans impayés. La dette des particuliers est si grande que s'ils prononcent 10 % des crédits hypothécaires la banque ne pourra pas affronter la provision nécessaire et ils se présenteront à l'État et alors le déficit serait insupportable et une autre montée inévitable d'impôts.
Le gouvernement a mis tout son espoir pour réduire le déficit d'une récupération de la croissance économique. Mais l'approche correcte est exactement le contraire : seulement la réduction du déficit peut apporter la récupération.
L'objectif de grandir à 3 % pour 2012 est parfaitement faisable. L'Espagne a un parcours à une amélioration de la productivité et à augmentation du nombre de personnel pour grandir à ce rythme. Si nous contrôlons nous (congelons) les salaires entre 2012 et 2015 une partie importante de cette croissance sera de l'emploi (au moins un million de postes de travail). À partir de 2015, si on veut maintenir comment un minimum la croissance de 3 %, avec une création d'emploi de 300.000 postes de travail par an, les questions les plus décisives seront la qualification des travailleurs et la capacité d'attirer un capital étranger. Nous aurons à beaucoup améliorer notre niveau éducatif, 35 % d'analphabètes fonctionnels qui crachent par an nos instituts sont inacceptables. Aussi l'Université requiert une réforme radicale. En ce qui concerne le deuxième, pour créer tout cet emploi, l'épargne nationale ne va pas être suffisante mais si nous descendons des impôts à mesure qu'un emploi est créé et il démonte (presque) tout l'État du Bien-être des investisseurs ne nous manqueront pas.
Mais, quels nez : Tout le précédent à qui il importe!! Si nous savons déjà que le système est inaltérable.
Dans l'entretien celui-ci dit à Carlos Rodríguez Braun que l'un des économistes qui lui ont plus influé est Anthony de Jasay. Jasay soutient que l'État étend à grandir toujours et est pessimiste en ce qui concerne l'existence de l'État limité. Dans l'autre de ses réponses CRB dit : "La consolation unique consiste en ce que la pression fical est déjà le suffisamment élevée comme pour qu'il puisse beaucoup monter sans plus des prix politiques …”
CRB croit que le statu quo ne va pas changer par bonnes que ce soient nos propositions, bien que cependant il ne jette pas la serviette, mais depuis une espèce de résignation. La résignation dont seulement quand une majorité perçoit clairement les préjudices que l'État produit existe une possibilité de sa limitation.
Pendant ce temps à la majorité immense des gens qu'il lui importe ce sont les courses de Fernando Alonso ou de choses par le style. Et si rien ne change, alors les choses suivront son cours naturel. Le déficit public ne va pas diminuer parce qu'il n'y a pas de marge pour diminuer les frais sans provoquer de conflits avec syndicats, autonomies ou un secteur avec capacité de pression. La montée de la TVA ou d'autres impôts ne va pas réussir à augmenter la recette mais il va déprimer encore plus l'économie.
Dès que des amis, reste seulement attendre que les investisseurs étrangers se rendent compte de ce qu'il n'y a pas de manière. Et alors les gens qui prennent tranquílamente l'apéritif en voyant gagner à Alonso une autre course auront à s'affronter à la réalité. Ce qui arrive maintenant en Grèce peut être instructif dont pouvait succéder en Espagne arrivé le cas. Bien que clair la Grèce ne soit pas Espagne.
De toute façon nous aurons le problème gros dans 10 ans si jusqu'alors nous ne résolvons pas les problèmes de vieillissement, l'énergétique et celui de l'éducation, notre décadence sera inévitable.
En 2020 …
Avec 40 ans de basse natalité (1980-2020) et la génération de baby un boom de 60-70 sur le point de prendre la retraite.
Avec nos centrales nucléaires sur le point de terminer sa période de vie utile.
Avec centaines de millions de travailleurs de pays émergents avec une meilleure éducation et en touchant beaucoup moins que les nôtres.
Nous ne pouvons pas attendre par an.
Des saluts amis.
Download NCIS S07E18 Jurisdiction online
No comments:
Post a Comment