Saturday, March 13, 2010

Une après-midi avec César (il interviewe César Vidal)

Si nous demandons à nos connaissances, à amis ou à collègues de classe ou du travail, par César Vidal, la réponse la plus habituelle, s'il consiste en ce qu'ils peuvent nous dire quelque chose de lui, c'est qu'il s'agit d'un type de droite de manière suspecte prolifique et aux multiples facettes. Ce qui mis dans un langage poétique, avec l'autorisation de l'apocryphe Mairena, semble plus prévisible et ennuyeux : une facho provocatrice qui écrit des livres comme beignets … beaucoup de cholestérol et peu a nourri. Un des gourous adorateurs du “kaos” et de la planification stalinienne, peut-être queriendo souiller le succès memético et mediático de César Vidal, ils ont écrit que c'est la “peste bubonique logée entre La Cope (sic) et La Raison”, un “monsieur je-sais-tout prétentieux de droite” et “je coupe des sommets de la tête”. Il est connu déjà que pour la gauche abyssale l'intelligence et la culture sont son réservé privé, et la droite intelligente et cultivée, en plus d'un oxymoron, une bande de merles blancs contre laquelle toute artillerie est peu nombreuse.

César dans son bureau dans esRadio

César dans son bureau dans esRadio

César Vidal a beaucoup écrit. Certain. Presque 200 livres et un sans fin d'articles. Un chiffre que lui même décontracte quand il nous rappelle que Lutero est arrivé à écrire un livre tous les quinze jours. Notre invité a écrit des romans pour plus grands, des jeunes hommes et des enfants; des livres d'histoire ancienne et moderne; des biographies et une multitude d'oeuvres vulgarisatrices sur le christianisme et sur la valeur de votre propre expérience personnelle de transformation, trente ans derrière.

(6) Je suis chrétien parce que, dans son amour incomparable, le Dieu m'a sauvé “par grâce, à travers de la foi, donc nous avons fait, non par des oeuvres pour que personne ne se vante” (Efesios 2, 8-9).

César Vidal, qui est protestant, membre d'une église évangélique de Madrid, ne s'est pas limité à détacher l'importance spirituelle du christianisme, mais aussi de son importance singulière dans la configuration de la liberté et les institutions qui ont fait possible le progrès culturel, éthique et politique d'Occident. Le progrès qui à d'autres confessions semble étranger quand un non ennemi de ses dogmes.

(16) Je suis chrétien parce que le christianisme a préservé la culture classique et a fondé la culture d'Occident très au-dessus de tout autre apport.

(20) Je suis chrétien parce que sans le christianisme n'aurait pas surgi la démocratie contemporaine.

Il ne s'agit pas d'une interprétation milenarista du progrès séculier mais de la défense explicite, en face du multicuturalismo rampante, de quelques valeurs, les chrétiens d'abord et des protestants après, qui, pour notre auteur, “ont changé l'Histoire en sens positif dans une forme qui n'a pas obtenu ni lejanamente de conception du monde”.

En fait, nous pourrions nous demander si, en dehors de la Réforme, la démocratie serait aujourd'hui un peu plus que le souvenir d'une expérience échouée en Grèce au Ve siècle av. JC.

Parce que, pour cet historien, ils ont été les puritains, avec sa conception adroite de la nature humaine, ceux qui ont joué le rôle principal dans une révolution authentique émancipatrice, après avoir déplacé au Nouveau Monde une conception du monde qui inspirerait les Parents Fondateurs des États-Unis. Ainsi, par exemple,

le premier texte indépendantiste nord-américain n'a pas été, comme en général est-il pensé, la déclaration d'Indépendance rédigée par Thomas Jefferson, mais la fontaine dont le président futur nord-américain a copié [...] la déclaration de Mecklenburg ”.

La mentalité conservatrice de César Vidal, de convictions profondes religieuses, est un exemple inconfortable pour notre droite, comme il l'est pour la gauche du sourcil et de l'insulte facilón; une mentalité que son Russell Kirk étonné a condensé en dix principes conservateurs, principes que notre invité défend depuis des années depuis ses articles, livres et, espace, depuis la radio, d'abord dans La Lampe de poche de La Cope et maintenant depuis Es la Nuit de César, dans esRadio.

César a eu l'amabilité de nous accorder à Germanique et à moi une heure: une heure!, de son agenda bouffi et de plus il nous a offert un livre, Pourquoi je suis chrétien, dont, certes, je suis sorti les rendez-vous qu'ils ont lus dans cette introduction.

Ce sont les liens : La première partie. La deuxième, troisième et quatrième partie.

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