Wednesday, March 10, 2010

Une autre manière de descendre le salaire minimum : subventionner l'engagement

Il fait une paire de jours est sortie une proposition de la patronale dans laquelle on parlait d'une supposition un nouveau contrat pour les jeunes hommes. Il ne faut pas préoccuper. Les syndicats ont nié des formes qu'ils sont couverts de boue dans la vulgarité, le Ministère du Travail a dit que ni d'une plaisanterie, les médias font son papier et jusqu'aux bloggers social-démocrates qui s'affichent de t'ennuyer par des données ils ont tiré des consignes apparemment sorties d'un pamphlet marxistoide de l'époque de la Guerre Froide pour le critiquer, de manière que la patronale se soit mis la proposition où ils indiquaient les syndicats.

Dans quel consitía concrètement le contrat ? Il semble être que dans le suivant :

Le CEOE patronal a proposé sur la Table du Dialogue Social la création d'un nouveau “contrat d'insertion” pour des jeunes hommes âgés de moins de 30 années, avec une durée d'entre six mois extensible une année avant de et sans une indemnité de licenciement, similaire à l'existant en France.

Le directeur du département de relations de la CEOE, José de la Cavada, a expliqué dans le Congrès des Députés que cette initiative délie de son autre proposition d'un contrat un contrat indéfini avec indemnité de licenciement d'huit jours de salaire dans les deux premières années, et après 20 ou 22 jours par l'année fatiguée, qui compte avec “des réunions plénières droites et des obligations”.

J'ai remarqué que toutes les mesures qui se proposent sont directement reliées au coût d'un travailleur pour l'entreprise. Tout de suite, le travailleur sort par beaucoup d'argent, jusqu'au point de que les hommes politiques ont pressé les cervelles jusqu'à des limites insoupçonnées. La dernière manière qu'ils ont trouvée pour faciliter l'engagement elle est en subventionnant.

Ce n'est pas une plaisanterie :

Un article 1. Un objet et une enceinte d'application.
1. Le décret royal présent a à un objet établir des mesures pour faciliter la réinsertion de travail ainsi que l'établissement d'aides spéciales à ces travailleurs qui ont 52 ou plus années, qui sont dans un chômage, et qui avaient été affectés par les procédures de régulation d'emploi 76/2000, du 8 mars 2001 et 25/2001, du 31 juillet 2001, et accomplissez les conditions requises établies pour être bénéficiaires des mesures prévues.
2. Aux effets prévus dans ce décret royal se considéreront comme travailleurs chômeurs aux demandeurs d'emploi, non occupés, enregistrés dans les Services Publics d'Emploi.

Un article 5. Une subvention spéciale.
1. Ils seront des bénéficiaires de la subvention spéciale, les travailleurs contemplés dans l'article 1 qui accomplissent les conditions requises suivantes :
a) Être âgé de plus de 52 années.
b) Se trouver dans un chômage et un inscrit comme demandeur d'emploi.
c) Ne pas avoir eu un droit à profiter de l'allocation de chômage de niveau contributif ou, en cas d'avoir eu un droit à la même, en cas de l'avoir éteinte par épuisement.
2. La quantité de la subvention sera de 3.000 euros par an, les périodes inférieures à l'année étant réparties au prorata.
Dans le cas des travailleurs qui n'ont pas pu être replacés au cours de 24 mois depuis le commencement de la perception de cette subvention, la quantité de la subvention sera de 5.500 euros par an.
Avec effets le 1 janvier de chaque année, en commençant dans la deuxième année postérieure à celui de l'entrée en vigueur de ce décret royal, les quantités établies aux deux paragraphes précédents seront actualisées dans le même pourcentage dans lequel il varie la quantité de l'Indicateur Public de Rentes d'Effets Multiples (IPREM), à l'égard de celle de l'année précédente.

Il a été publié samedi passé, et il n'est pas entré dans le dernier ranking parce qu'il voulait lui consacrer un post spécial. Si pour qu'un secteur de la population ait les possibilités d'accéder au travail tu as à subventionner l'entreprise avec 3000 euros par an ou même avec 5.500, ce que tu cries aux quatre vents consiste en ce que le salaire minimum nuit à eux. Le salaire du travailleur est un prix que l'entreprise a à payer. En subventionnant l'engagement, ce que tu fais c'est de réduire ce prix. Combien paie réellement l'entreprise ? X – 3000 ó 5500 euros. Si le salaire minimum est à 7599,60 euros, faites des comptes.

Pour diminuer le prix des travailleurs il y a deux possibilités : Ou bien ils se baissent, les salaires et ses “prix accessoires”, ou bien sont subventionnés. Le problème de descendre les salaires consiste en ce qu'il semble très impopulaire le rendre manière directe. D'où le fait que l'on opte pour des mesures indirectes remplies de rhétorique légale. Il s'agit d'une mesure qui a pour l'entreprise les mêmes conséquences à descendre le salaire, mais sans descendre le salaire du travailleur dans une question. Comme la mesure de la patronale vers les jeunes hommes n'accomplissait pas ces conditions requises, il a été frontalmente repoussée. La subvention est payée par les contribuables.

Seulement l'Andalousie les licenciements par ERE ont surpassé 25.000 en 2009, étant surpassé de plus par la Catalogne (139.325), le Pays Basque (83.340), la Communauté Valencienne (63.066), Madrid (45.968), l'Aragon (44.248) et la Castille et Léon (39.068). D'autre part, il n'y a pas de données de combien de ces personnes a 52 ou plus années. Dans tout cas, oui on peut souligner que les jeunes hommes concourent avec personnes de cette frange d'âge et qu'ils auront une aide de ce bienfait, ainsi que que la demande d'emploi est très peu abondante.

La question que j'ai à poser aux syndicats, le Ministère du Travail, des médias, bloggers des sociaux-démocrates et les autres elle est très simple : Qui est-ce qui va commercer un jeune homme quand il peut commercer quelqu'un qui peut sortir par même moins de la moitié du salaire minimum et avec beaucoup de plus d'expérience ? Encore plus: quelle classe de contrat faut-il dessiner devant les jeunes hommes pour qu'ils puissent concourir avec cela ?

Déjà mis, nous pourrions subventionner tous les contrats, indépendamment du type, d'âge, d'expérience, de sexe ou de toute autre variable qui était estimée éminente. Ainsi, les entrepreneurs s'enhardiraient à commercer des gens.

Rappeler qu'est en vain :

  • Personne ne prête d'argent aux particuliers parce qu'est plus sûr le prêter à l'État.
  • Les gens serrent la ceinture, en consommant moins.
  • Il est incompréhensiblement lent monter une entreprise en Espagne.
  • Les coûts d'engagement sont très hauts.
  • Le rythme d'engagement est très bas.
  • Tous les autres prix continuent d'être excessivement élevés.
  • Les pays du centre de l'Europe sont beaucoup plus compétitifs que nous.

Ils me diront déjà si le contrat pour les jeunes hommes était mauvais ou il restait court. Et mieux oublier d'éliminer le salaire minimum. Bien qu'en voyant la classe de mesures qui sont adoptées, ce serait le plus raisonnable.

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